Le vigile

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il y a 4 ans

Lorsque Audrey rentra à la maison, sa mère faillit tomber à la renverse. « Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Tes cheveux ... ».

Sa fille de dix-huit ans se tenait penaude devant elle, blonde, les yeux bleus,

très bronzée, mignonne, bien faite malgré sa toute petite poitrine, faisant très garçonne maintenant que sa longue chevelure n’était plus qu’un souvenir.

Les mèches dorées coupées à quelques millimètres encadraient son joli visage ovale, la nuque était rasée haut, très douce, la frange épaisse n’existait plus... Elle se lança dans des explications confuses et contradictoires - un copain lui avait dit qu’elle serait très jolie comme ça, elle avait envie de changer de look, et puis avec cette chaleur, bref elle était allée chez le coiffeur, maintenant elle regrettait un peu... -

Elle évita le regard de sa mère qui lui demanda :

« Avec quel argent tu es allée chez le coiffeur ? »

« Je .. J’en ai emprunté. »

Nicole savait très bien que passé le dix du mois l’argent de poche de sa fille était dépensé, et que plus aucune de ses copines ne lui en prêtait. Elle insista tant qu’Audrey finit par avouer : « Maman, j’ai fait une bêtise. »

Peu à peu, Audrey raconta ce qui lui était arrivé. Elle avait piqué dans un grand magasin, le vigile l’avait vue, il l’avait emmenée dans son bureau. Menaçant d’appeler la police, il lui avait fait signer une déclaration où elle reconnaissait qu’elle avait volé.

Ensuite ... « Il ... il m’a dit que dans certains pays, on coupait la main des voleurs. Et puis il a dit qu’il avait pitié de moi et ... et que lui il se contenterait de ... de me couper les cheveux. Si je n’étais pas d’accord, alors je n’avais qu’à me débrouiller avec la police. Et que mes parents ne seraient sûrement pas heureux de me chercher au commissariat. Sans compter que tout le monde me verrait traverser le magasin avec des menottes, entre deux flics. Alors j’ai dit que bon, d’accord.

Mais j’avais envie de pleurer. »

« Mais ça s’est passé où ? Dans le bureau ? Et c’est lui qui t’a ... qui l’a fait ? »

Nicole n’avait pas réussi à dire « qui t’a coupé les cheveux ».

En fait elle n’arrivait pas encore à réaliser que la longue chevelure lisse d’Audrey avait disparu. Et pour longtemps.

« Oui. Il m’a dit de pas avoir peur, qu’il faisait ça très bien, qu’il avait l’habitude de

s’occuper des voleuses de cette manière. »

Audrey refusa d’en dire plus sur la coupe elle-même, et sa mère n’osa pas lui poser trop de questions, ne voulant pas la traumatiser. Cependant elle dut admettre intérieurement que la coupe était très bien faite. Le soir, rentrant tard comme d’habitude, c’est à peine si le père remarqua la nouvelle allure d’Audrey. Il lui dit distraitement que ça lui allait très bien et se retira pour travailler.

Nicole dormait déjà lorsqu’il vint se coucher. Pourtant elle avait eu beaucoup de mal à s’endormir, pensant à l’histoire de sa fille, l’humiliation qu’elle avait subie, la peur qu’elle avait ressentie. Et maintenant, ses cheveux ras qui lui donnaient l’air d’un garçon.

Nicole à cette idée n’avait pu s’empêcher de se passer la main dans les cheveux. comme Audrey - enfin, Audrey jusqu’à aujourd’hui - elle avait d’admirables cheveux lisses, épais, taillés droit au milieu du dos. Comme Audrey, elle avait les yeux bleus, mais ses cheveux à elle étaient très noirs, très brillants, ce qui lui donnait un charme rare. Malgré ses trente-huit ans, elle n’avait jamais eu envie de les couper.

Elle les coiffait le plus souvent en un lourd chignon, ramassé sur la nuque ou bien relevé pour dégager le cou. En vacances elle préférait les laisser librement lui balayer le dos. Et voilà qu’elle s’imaginait à la place d’Audrey, suppliant le vigile de la laisser partir, d’épargner sa chevelure ... Quelle angoisse et quelle honte la pauvre gamine avait dû éprouver. Comment s’y était-il pris ? Ciseaux, tondeuse ? Ca ressemblait à du travail de professionnel. Elle s’était à nouveau nerveusement passé la main dans les cheveux.

Le lendemain au petit déjeuner, Audrey avait l’air assez abattue. Sa mère discrètement l’observa, passant plusieurs fois derrière elle pour regarder sa nuque frêle et douce. Plus tard, elle se regarda dans la glace et se tira les cheveux en arrière pour essayer de s’imaginer avec les cheveux courts, elle les releva pour observer sa nuque ...

Dans l’après-midi elle interrogea encore Audrey pour essayer de savoir dans quel magasin ça s’était passé, et à quoi ressemblait le vigile. Audrey, à cent lieues d’imaginer le trouble profond qui s’était emparé de sa mère, répondit docilement aux questions mais finit par fondre en larmes dans les bras de Nicole, qui eut beaucoup de mal à la consoler.

Elle avait profité de la situation pour passer sa main sur la nuque lisse et les courts cheveux soyeux de sa fille, ce qui l’avait encore plus troublée.

Dès le lendemain, Nicole commença à rôder dans le magasin. Elle n’eut aucun mal à repérer le vigile. Il y en avait quatre, mais lui travaillait l’après-midi. Elle le vit la surveiller tandis qu’elle examinait de la lingerie. Elle avait mis une petite robe d’été, dénoué ses cheveux et ne paraissait pas plus que trente ans. Elle s’amusa à passer très près de lui, pour qu’il sente le parfum de sa chevelure. Elle revint plusieurs jours de suite.

Chaque fois qu’elle voyait le vigile, elle sentait ses jambes qui tremblaient, elle l’imaginait les ciseaux à la main, prenant une de ses mèches de cheveux pour la couper.

Le soir, seule dans son lit, elle se caressait plusieurs fois avant de pouvoir s’endormir.

Ca ne pouvait pas durer. Elle décida un matin que le jour du sacrifice était venu. Elle s’habilla et se maquilla avec soin, tailleur chic, escarpins, se coiffa en un lourd chignon enroulé très tiré en arrière, mit des boucles d’oreilles, un collier, des bracelets, et des bagues. Dessous elle avait mis une culotte et un soutien-gorge en dentelle blanche, avec des bas et un porte-jarretelles, blancs eux aussi. Elle attendit l’après-midi avec angoisse et impatience, décidant cent fois de renoncer à son projet absurde et fou.

Avant de sortir elle mit des gants.

Elle avait décidé de voler du parfum. Elle s’assura discrètement que le vigile la surveillait, jeta un regard autour d’elle, il s’était dissimulé, puis après quelques secondes elle mit un flacon du parfum le plus cher dans son sac. Elle flâna encore quelques moments dans les rayons puis se dirigea vers la sortie. Son cœur battait à tout rompre.

C’est là que son destin se jouait : si elle se dirigeait vers les caisses, rien ne lui arriverait. Mais la sortie « sans achats » lui tendait les bras.

Elle hésita puis sa démarche se raffermit et elle sortit.

« Madame, s’il vous plaît. »

Le vigile avait surgi brutalement et lui barrait le passage. Elle pâlit ; cette fois ça y était, elle était piégée.

« Je suis désolé, mais je dois vous demander d’ouvrir votre sac. »

Comme elle restait paralysée, il ouvrit lui-même le sac, en sortit le flacon.

« Vous avez un bon de caisse pour ceci, Madame ? »

Elle fit non de la tête.

« Veuillez me suivre. »

Quelques personnes l’observaient et elle suivit immédiatement le vigile, pour échapper aux regards curieux. Le bureau était petit, et Nicole se demanda si c’était là qu’Audrey avait eu les cheveux coupés. Maintenant elle avait peur et regrettait son geste. Le vigile avait l’air gentil pourtant, il s’étonnait qu’une femme que sa tenue laissait supposer sans problèmes financiers vole du parfum. Il lui expliqua qu’il l’avait vue et que de toutes façons une caméra avait enregistré la scène. Tête basse, elle n’avait encore rien dit. Il continua:

« Je devrais appeler la police. Mais vous m’êtes sympathique. On peut peut-être s’arranger autrement. »

« Vous voulez de l’argent ? Je vous payerai dix fois le prix du parfum. »

« On verra. Je veux d’abord votre carte d’identité, Madame. »

Il la prit pour noter des choses sur un formulaire. Tout à coup il fronça les sourcils et réfléchit. Il sortit des papiers et murmura :

« Tiens, tiens. Voilà qui est intéressant. »

Après un silence, il regarda Nicole dans les yeux et dit:

« C’est curieux, j’ai là le dossier d’une jeune fille qui porte le même nom que vous. Son prénom est Audrey ... Une voleuse, comme vous. Une jeune fille qui avait l’air de sortir d’une bonne famille pourtant. D’une famille bourgeoise. »

Le cœur de Nicole se mit à battre à tout rompre. Elle n’y avait pas pensé. Et maintenant qu’allait-il se passer ? Il allait deviner qu’elle était venue en toute connaissance de cause. Elle essayait de garder une contenance, mais elle sentait que son visage en feu la trahissait.

Paniquée, le regard baissé, tripotant nerveusement la fermeture de son sac, elle se sentit totalement prise au piège. Mais n’était-ce pas ce qu’elle était venue chercher ici, après tout ? Elle se sentait les jambes en coton, une drôle de chaleur dans le bas-ventre, et une confusion totale dans ses sentiments. Le vigile laissa volontairement se prolonger le silence pesant. Puis il se leva et s’approcha de Nicole. Il tourna autour d’elle avant de lui dire doucement : « Défaites votre chignon, Madame, s’il vous plaît. »

Il l’observa dénouer ses cheveux, et vint y plonger une main autoritaire, tout en lui disant :

« Ils sont aussi doux que ceux d’Audrey. Et plus épais. Un peu moins longs, mais plus épais. Et très brillants. »

Nicole honteuse baissa la tête mais il la lui releva en tirant d’un coup sec, lui arrachant un cri de douleur.

« Est-ce qu’Audrey t’a raconté exactement comment ça s’est passé ? Je n’en suis pas sûr. Mais moi je vais tout te raconter. Elle s’est déshabillée devant moi et elle a enfilé des bas et un porte-jarretelles que je lui ai donnés. Elle a des petits nichons, ta fille, c’est pas comme toi. Elle s’est mise à genoux et j’ai commencé à lui couper les cheveux.

Tu penses bien que j’en ai profité pour me faire sucer. Après j’ai passé la tondeuse, et le rasoir dans la nuque. Et puis je lui ai rasé sa petite chatte blonde et je l’ai baisée. Elle était debout, penchée en avant sur ce bureau que tu vois là. Elle n’était plus vierge. Mais comme je n’ai pas mis de préservatif et qu’elle ne prend pas la pilule, je l’ai peut-être bien mise enceinte. En tous cas elle en avait peur et n’arrêtait pas de me demander de ne pas jouir en elle. Mais c’était trop bon. »

Nicole écoutait avec horreur le récit du vigile. Mais son trouble augmenta encore quand il lui

demanda brusquement :

« Et toi, pourquoi es-tu venue ? »

Heureusement, avant qu’elle ait réussi à rassembler ses esprits pour bredouiller une réponse f o r c é ment humiliante, le téléphone sonna. Après avoir raccroché, l’homme dit :

« Tu vas avoir un peu de temps pour méditer ta réponse. Je dois retourner au magasin. Viens par ici. »

Il la fit entrer dans un petit cagibi attenant au bureau et asseoir sur une chaise. Il lui menotta les poignets aux barres du dossier. Après quoi il déboutonna tranquillement son chemisier et palpa quelques instants sa grosse poitrine. Nicole fermait les yeux. Elle sentit les mains du vigile venir sous sa jupe pour tirer sur sa culotte. Elle dut soulever les fesses pour qu’il puisse la lui baisser jusqu’aux chevilles. Il avait bien sûr remarqué les bas et le porte-jarretelles. Il prit encore Nicole par les cheveux et lui ordonna de le regarder.

Affolée, apeurée, elle l’entendit lui dire :

« Ne t’inquiète pas, je ne t’oublierai pas. Je reviendrai pour te tondre, parce que c’est pour ça que tu es venue. Et je te baiserai bien. La mère après la fille, c’est excitant. Je verrai laquelle suce le mieux. »

Avant de partir, il écrasa sa bouche sur les lèvres de Nicole, pour un baiser court et brutal.

Il sentit des larmes brûlantes couler sur les joues de sa victime, ruinant son maquillage. Il l’abandonna ainsi, attachée à la chaise, chemisier entr’ouvert, culotte aux chevilles, cheveux défaits ; il sortit et referma la porte du cagibi à clé derrière lui, ainsi que celle du bureau.

Seule, honteuse, humiliée, excitée, Nicole attendit son retour avec angoisse et impatience, pendant ce qui lui parut être des heures. Comme depuis un an environ Antoine, son mari, ne s’intéressait plus à elle, mais qu’elle n’avait pas envie d’avoir des liaisons, sa vie sexuelle s’était bornée depuis lors à des masturbations épisodiques, devenues beaucoup plus fréquentes depuis la mésaventure d’Audrey. Et il y a six mois, lorsque son médecin lui avait dit qu’il faudrait remplacer son stérilet, elle avait décidé de le faire retirer. Elle se disait maintenant que peut-être, comme sa fille, elle allait être engrossée par le vigile.

Mais le désir de faire l’amour de manière inattendue, après un an d’abstinence, même dans ces conditions humiliantes, et le trouble de savoir que sa chevelure allait être coupée comme elle en rêvait secrètement depuis plusieurs jours, qu’elle allait même être tondue, l’emportaient sur la peur, peur de ne pas savoir exactement ce qui allait se passer au retour du vigile, peur de ne pas savoir très bien comment elle réagirait, peur d’être enceinte, peur d’un scandale... Et qu’est-ce qui allait se passer s’il se révélait qu’Audrey aussi était enceinte ?

Comment expliquer tout cela à Antoine ? Nicole serra les cuisses sur son sexe en émoi.

Elle avait tellement envie de faire l’amour !

Enfin il revint. Il lui détacha les poignets de la chaise et la mit debout. Il retira la veste du tailleur et le chemisier déjà déboutonné. Nicole se laissait faire docilement. Ensuite il lui rattacha les mains dans le dos. Il la prit par les cheveux pour la tirer dans le bureau, elle le suivait difficilement à cause de sa culotte toujours aux chevilles.

Sur le bureau elle vit une tondeuse étincelante et une perruque noire.

« C’est pour ça que tu es venue, hein petite vicieuse ? C’est à ça que tu as pensé sans arrêt depuis que tu as vu ta fille avec les cheveux coupés à ras ? »

Le vigile avait pris la tondeuse et l’agitait devant le visage de Nicole.

« C’est avec celle-là que je me suis occupé d’Audrey. Mais toi, ma belle bourgeoise, je vais te tondre complètement. Je ne te laisserai même pas un millimètre sur le crâne. Ce sera très excitant. »

Il ouvrit un tiroir du bureau et dit à Nicole :

« Regarde. »

Elle vit de longues mèches blondes, et il n’eut pas besoin de lui préciser que c’était la chevelure d’Audrey qui remplissait le tiroir. La main du vigile dans ses cheveux la mit à genoux. Devant son visage elle voyait une bosse gonfler le pantalon. Il descendit la fermeture éclair et sortit son sexe dur devant le visage de Nicole.

Tremblante de désir devant cette verge tendue vers elle, elle ne fit cependant pas un mouvement, attendant un ordre ou un geste. Il prit sa queue et la frotta contre le visage de Nicole qui les yeux clos savoura la caresse de cette chair dure et douce à la fois. Il se caressa dans la chevelure noire, soyeuse, en poussant des soupirs de satisfaction.

Lorsqu’il posa son sexe sur les lèvres de Nicole, elle les serra pour donner à l’homme l’impression qu’il allait devoir prendre sa bouche de f o r c e . Il enfonça brutalement sa main dans la chevelure épaisse, Nicole poussa un petit cri, et d’une poussée il v i o l a la belle bouche qui lui était offerte. Elle aurait voulu se caresser en même temps qu’elle le suçait ; elle fit aller et venir régulièrement sa bouche sur la tige luisante, et lui, constatant sa docilité, lui relâcha les cheveux, tout en comparant favorablement sa technique à celle d’Audrey.

Sans qu’elle le voit, il prit la tondeuse électrique. Le vrombissement du moteur suscita en elle une vague de panique, mais elle se f o r ç a à continuer à sucer, en se disant :

« Voilà, ça y est, c’est ce que je voulais, je vais être tondue, tondue, tondue ... »

Le sexe dans sa bouche, sur ses lèvres, dans sa gorge, lui rappelait de délicieuses sensations depuis longtemps oubliées. Un grand frisson la parcourut lorsque le vigile posa la tondeuse sur son front et d’un seul coup creusa un sillon dans l’épaisseur de la belle chevelure sombre, rejoignant la nuque en faisant tomber sur les épaules, les cuisses et le dos de Nicole une pluie de lourds cheveux soyeux. Pour montrer sa soumission, elle s’appliqua à aspirer doucement le gland entre ses lèvres en l’entourant de sa langue. Si ses mains avaient été libres, elle lui aurait caressé les couilles et les fesses. L’homme savoura un moment les caresses de Nicole, puis reposa la machine sur la tempe de la bourgeoise docile agenouillée devant lui. De nouvelles mèches tombèrent sans bruit, effleurant une dernière fois le corps presque nu de Nicole, dont la chatte liquéfiée palpitait. Ses mains essayèrent d’atteindre son sexe par derrière, mais il le remarqua :

« Te touche pas, petite salope. Tu jouiras quand je te baiserai, pas avant. C’est que tu aimes te faire tondre, hein ? Ca t’a travaillée depuis que tu as vu ta fille revenir à la maison avec les cheveux ras, pas vrai, espèce de voleuse ? » Nicole le regarda dans les yeux sans cesser sa fellation, et fit oui de la tête. Toute honte oubliée, elle reconnaissait ainsi qu’elle était venue pour ça, pour être tondue, et baisée aussi, au fond d’elle-même elle le savait avant de venir, que le vigile la prendrait, la baiserait...

Sentant le plaisir approcher, l’homme posa la tondeuse et empoigna Nicole par les oreilles pour prendre sa bouche de plus en plus vite, de plus en plus loin, malgré les hoquets et les soubresauts de la pauvre Nicole qui s’étranglait sur la grosse queue qui lui remplissait la gorge. Le sperme épais et abondant jaillit sur sa langue et elle le but avec honte et ravissement. La bouche de Nicole resta un long moment immobile sur le sexe ramolli de l’homme qui venait de jouir.

Puis il sortit lentement sa queue luisante d’entre les lèvres qui l’avaient accueillie. Il reprit la tondeuse et dit :

« Hmmm tu fais moins de chichis que ta fille pour avaler le foutre. Bon, on va en finir avec tes cheveux, ça va me faire rebander et je te baiserai après. »

Il tondit rapidement Nicole qui sentait ses cheveux tomber de tous les côtés. La belle frange noire, qu’elle prenait régulièrement soin de faire couper bien droit par sa coiffeuse, disparut en dernier, couvrant les joues de Nicole de petites mèches. Quand son crâne fut tondu bien à ras, il l’enduisit de mousse à raser et affolée elle sentit le contact du métal froid sur sa tête. Il la rinça et l’essuya et elle ressentit de manière extraordinaire le contact des mains du vigile directement sur la peau, maintenant totalement nue et lisse, de son crâne.

Devant elle la queue à nouveau dure se balançait, et d’elle-même elle la prit doucement entre ses lèvres. L’homme la sortit un instant de la bouche de Nicole, pour la promener sur son crâne, ce qui lui donna la chair de poule. Puis il la releva et l’embrassa longuement tout en lui caressant la tête. Il lui fit signe de se pencher sur le bureau. Elle dut écarter les jambes autant qu’elle le pouvait avec la culotte aux chevilles. Il dégrafa le soutien-gorge pour caresser les gros seins dont les pointes étaient déjà dressées. Et d’un coup il s’enfonça en elle. Nicole poussa un long gémissement et se cambra pour mieux sentir en elle ce pieu qu’elle attendait depuis si longtemps.

Immédiatement un orgasme fulgurant la terrassa. Elle poussa un grand cri et s’écroula sur le bureau, la queue du vigile plantée en elle. Il attendit quelques instants qu’elle ait repris ses esprits pour lentement aller et venir dans sa chatte humide de désir mais encore bien serrée par une longue abstinence. Il lui murmura à l’oreille :

« C’est bon hein ? C’est dans cette position que j’ai baisé ta fille, Audrey. Et que je lui ai répandu mon sperme dans sa petite chatte rasée de frais. Que je l’ai mise enceinte. Ca t’excite, petite vicieuse. Tu es trempée. Je vais encore te faire jouir, tu vas voir. Tu prends la pilule? »

Nicole fit non de la tête.

« Non ? Alors qu’est-ce que tu utilises comme contraception ? »

« Je ... Rien. Ne jouissez pas en moi, je vous en prie. »

« Ah non, c’est trop bon dans ta chatte. Je vais te faire un bébé, comme à ta fille.

Un demi-frère. Le bébé que je vais te faire sera le demi-frère du bébé d’Audrey. »

Nicole faisait non de la tête mais son sexe vibrait de plaisir sous les coups de queue. Elle eut encore plusieurs orgasmes v i o l ents avant que l’homme ne jouisse à son tour en gémissant :

« Tiens, prends mon sperme. Tu le sens tout au fond de ton sexe ? Tu le sens couler en toi, au plus profond de toi. Je te fais un e n f a n t , là. »

Nicole, parcourue de frissons et de spasmes, des s a n g lots dans la voix, râlait de plaisir, tondue, humiliée, v i o l ée et engrossée par un homme qui une semaine auparavant avait fait subir le même traitement à sa propre fille, Audrey.

Il se retira d’elle et la fit mettre à genoux pour qu’elle nettoie à petits coups de langue son gros sexe baveux. La bouche et les lèvres dociles de Nicole le firent rapidement rebander, et une deuxième fois il la prit, une deuxième fois il lui inonda de sperme le vagin.

Pantelante, le sexe clapotant, elle jouissait v i o l emment en tremblant de la tête aux pieds.

Elle se sentait entièrement prise par cette bite épaisse. Il caressa le triangle noir, frisé, brillant de Nicole et lui dit :

« Finalement, ça je te le laisse. Ca fera un contraste avec ta tête tondue. »

Il lui détacha les mains, et tout de suite elle les porta à sa tête pour caresser sa peau incroyablement lisse et nue. Il lui tendit un miroir et Nicole se trouva belle, troublante et impudique.

« Tu ne te feras plus de chignon avant longtemps. » lui dit le vigile en riant.

Après s’être rhabillée, elle mit la perruque, qui ressemblait à la chevelure mutilée gisant par terre. Le vigile lui fit ramasser à quatre pattes les longues mèches noires qui rejoignirent les cheveux dorés d’Audrey dans le tiroir.

Le soir, le mari de Nicole ne remarqua rien.

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